Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 13:49

Le port d'un collier, notamment quand il est vérouillé, est un accessoire idéal pour l'acceptation de la soumission (rappel permanent). Il peut également servir d'humiliation plus ou moins sévère, selon que les vêtements le cachent plus ou moins

Ainsi, on peut aller du col roulé épais, qui cache tout, au col montant fin qui montre le collier en relief, au décolleté plus ou moins large. Associé à la nudité, sur la plage où quand la soumise doit se dévêtir (médecin, ...), il procure une sensation de honte prolongée, particulièrement pédagogique....

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Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 13:47

L'intérêt d'une pénitence est dans la durée autant que dans la douleur elle-même. Outre la préservation douloureuse de la chasteté illustrée ci-dessus, voici deux utilisations de pinces qui n'offrent que des avantages : serrage et durée facilement modulable, effet psychologique de la réduction à l'état d'objet

  • Le plateau, fixé à la ceinture et maintenu à l'horizontale par des chaînes à pinces reliées aux tétons de la pénitente : il a l'avantage d'exhiber la pénitente, ce qui accroit sa gêne, mais ne peut facilement s'adapter qu'aux poitrines moyennes ou petites, voire inexistantes. De plus, le nombre d'objets sur le plateau permet de graduer la punition. Très décoratif, notamment quand la pénitente a les mains liées dans le dos. Info technique (Alexandre) : il faut tout d'abord découper un morceau de contreplaqué un peu épais qui servira de plateau ... Ensuite, il faut fixer à 2 angles, dans l'épaisseur du plateau, 2 chaînes munies d'une pince qui viendra prendre place sur les seins de la stagiaire-soumise. Enfin, il faut prévoir une chaîne ou une ceinture qui passera autour de la taille afin de créer un 3ème point d'appui ... Je pense que le plus confortable est une ceinture fixée par le milieu au milieu du côté opposé aux pinces (toujours dans l'épaisseur du plateau) ... Ainsi, il n'y a qu'à serrer la ceinture dans le dos de la soumise, et elle pourra servir son maître fièrement ...
  • Le porte-jarretelles naturel, les bas sont tenus par des jarretelles fixées aux grandes lèvres de la pénitente par des pinces : il a l'avantage de pouvoir être discret (utilisable n'importe où).  Idéal aussi pour l'auto-punition. Info technique (Alexandre) : il faut choisir des bas autofixants... On relie alors 2 pinces de type "japonaise" au sexe de la soumise, pinces qui seront elles-mêmes reliées aux bas par 2 autres pinces plus petites et plus plates... pinceschastes
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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 12:18

Les auto-punitions peuvent prendre toutes les formes et poursuivre différents buts. Par cette pratique, la soumise peut montrer sa soumission à distance, s'endurcir, ou encore se punir de s'être montrée pudique par exemple..

Il peut aussi s'agir simplement pour elle de renforcer sa perversité

1 - L'auto-flagellation :

L'auto-flagellation peut se partiquer au martinet mais aussi aux orties, par exemple

2 - La cire :

La cire permet une modulation de la douleur, selon la hauteur d'où tombent les gouttes et selon la qualité de la cire, selon les endroits traités aussi.

2 - Les accessoires:

La pose et/ou l'utilisation d'objet pour s'infliger de faible souffrance (pinces, élastiques, etc…)

LOGO-autopunition

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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 12:10

La pénitente est mise "à cheval" sur un tréteau étroit qui arrive juste sous son sexe quand elle est sur la pointe des pieds (voir ci-contre).

Avec la fatigue, elle va peu à peu s'asseoir sur la barre, puis quand la douleur sera trop forte, elle va se remettre sur la pointe des pieds, et ainsi de suite pendant toute la durée de la séance.

On peut bien sûr attacher la pénitente, mais c'est moins pédagogique car il est essentiel qu'elle ne se concentre que sur une chose : sa douleur et les raisons qui l'ont rendue nécessaire

Cette pénitence est idéale pour l'auto-punition.

bj

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Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 18:23
Un corset est un sous-vêtement comportant des baleines, et destiné avant tout à affiner la taille et accentuer ainsi les courbes féminines. Il peut maintenir la poitrine ou s'arrêter juste en-dessous Pour la soumise, c'est un article disciplinaire, destiné à lui rappeler en permanence son statut. Il peut être porté seul, mettant ainsi en valeur la nudité des seins et du sexe, la longueur des jambes, et empêchant celle qui le porte de s'affaler pour se cacher. Il existe 3 types principaux de corsets :
- Le serre taille, qui s'arrête aux cotes flottantes
- Le victorien court, qui s'arrête juste sous les seins
- Le victorien long, qui couvre les seins
corset3
Publié dans : soumise - Communauté : Vivre le S/M
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